Tous les mois, nous partageons une interview exclusive avec nos formateurs, les personnes qui ont entièremment créé vos prochaines formations. Découvrez le parcours de chacun, leur activité et bien plus encore.

 

Je m’appelle Maxime SENO, je suis avocat au barreau de Paris, spécialiste en droit public. Je conseille une clientèle composée d’entreprises et de personnes publiques, dans des problématiques de contrats administratifs, de régulation, et de conformité.

 

Concernant mes études, j’ai un parcours mixte : après un parcours orienté droit des affaires, j’ai basculé vers le droit public en Master 1. Puis j’ai obtenu un Master 2 en Droit public économique de l’Université paris Panthéon Sorbonne. Lorsque j’ai réussi le concours d’avocat, j’ai ensuite suivi les enseignements de l’Institut de Droit Public des Affaires de l’EFB.

Concernant le début de ma carrière, j’ai commencé comme avocat collaborateur dans le cabinet dans lequel je travaillais déjà en tant que juriste avant de devenir avocat. J’en suis devenu associé quelques années plus tard.

 

Après avoir commencé mes études en droit des affaires, et les avoir poursuivies en droit public, le droit public des affaires m’apparaissait tout naturellement être la bonne option, surtout dans un pays comme le nôtre qui laisse une place particulière à l’Etat.

 

La FCO des avocats m’apparait aujourd’hui pleine de contrastes : certains Confrères se forment assidument, d’autres de manière plus irrégulière ; certains barreaux contrôlent les heures de manière stricte, d’autre de manière plus éloignée ; certains Confrères se forment exclusivement en présentiel, parfois d’ailleurs en hâte à la fin d’année pour remplir les heures, là où d’autres ont recours à du distanciel. La FCO est probablement le reflet de notre profession.

 

En parallèle, je note tout de même que s’il existe certes des initiatives à saluer pour professionnaliser la FCO, trop peu de formations sont dispensées par des praticiens, et lorsque c’est le cas, l’audience n’est pas aussi importante que notre profession l’autoriserait. Avec près de 70.000 avocats, pourquoi la majorité des formations menées par des Confrères ne réunissent-elles, au mieux et la plupart du temps, que quelques dizaines de Confrères ?

 

La création de Legis Continu repose justement sur ce constat : il faut offrir aux Confrères des formations professionnalisantes, digitalisées et actualisées. Notre profession regorge de talents qui ne demandent qu’à s’exprimer, et il faut répondre à leurs attentes en leur adressant des formations faites par des praticiens. En parallèle, l’exercice du métier d’avocat peut rendre solitaire : on n’a pas forcément toujours sous la main un Confrère à qui parler d’une difficulté dans un dossier, d’un point de droit, ou d’une actualité qu’on pense ne pas maîtriser au mieux.

 

C’est là que Legis Continu intervient : avec son format 100% dématérialisé accessible depuis n’importe où, nous voulons répondre à cet enjeu de rapprocher les praticiens qui sont prêts à offrir une partie de leur expertise et les praticiens qui en sont justement demandeurs, et sans frontière. Pourquoi un Confrère de Brest ne pourrait-il pas apprendre auprès d’un Confrère niçois ?

Avec Legis Continu, nous voulons créer une communauté 100% online du partage du savoir juridique !

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